Portaolaya, artiste espagnol né à Bilbao, est un peintre réaliste, doté d’une technique délicate et perfectionniste qui évoque les grands maîtres de l’art.

​

Dans ses œuvres, on découvre une grande variété de thèmes : des natures mortes qui transmettent le goût et le parfum des fruits, des marines basques avec leurs bateaux de pêche reconnaissables entre tous, qui laissent sentir la brise fraîche de la mer, ou encore des figures délicates drapées de tissus d’époque qui nous transportent vers une ère romantique. Comme tous les grands maîtres, Portaolaya exécute ses œuvres à l’huile, révélant au spectateur un monde de couleurs et de détails qui laisse sans voix devant ses tableaux.

​

Son intérêt pour l’art s’est manifesté dès son plus jeune âge. Soutenu par sa famille, il est parti à Barcelone pour entamer ses études. Il a suivi une formation en Beaux-Arts à l’École Massana (Barcelone), où il a étudié pendant deux ans, apprenant différentes techniques, expérimentant et découvrant son propre style pictural.

​

C’est là que ses professeurs ont remarqué son talent et sa dextérité dans l’art réaliste. Ils l’ont encouragé à se rendre à Madrid afin de perfectionner sa technique réaliste à l’École des Beaux-Arts de San Fernando, un centre prestigieux à l’accès très sélectif, où il a étudié pendant trois ans. Son niveau de maîtrise était tel qu’il a été invité à enseigner les Beaux-Arts à l’école de l’Escorial (Agustinos). Il y a enseigné pendant un an, mais sa curiosité créative l’a poussé à explorer d’autres domaines. Pendant sept ans, il a travaillé dans la publicité chez Plasbil (Bilbao), où il a réalisé des œuvres créatives de grand format. Plus tard, il a été sélectionné par Movierrecord Films (Madrid), où il a de nouveau démontré sa créativité en réalisant manuellement des affiches de cinéma.

​

Aujourd’hui, il est entrepreneur et dirige sa propre entreprise dans le secteur de la restauration. Au cours de sa carrière, il a exposé ses œuvres à Madrid, au Centre d’Art Moderne au Portugal, à la Galerie Müller à Zurich, à la Galerie Amate à Paris, ainsi que dans de nombreuses autres galeries.